Le Chaton Chiffon teste pour vous La Bienfaisante25 minutes de lecture
Sujet quelque peu inhabituel aujourd’hui sur Le Chaton Chiffon, mais je tenais vraiment à vous parler de l’une de mes grandes découvertes de 2023. Il faut dire que celle-ci impacte véritablement mon quotidien et s’inscrit pleinement dans la démarche de bienveillance et de mieux-être que je tâche d’insuffler à ma vie depuis quelques années.
Et après plusieurs mois d’une cohabitation plus que réussie avec La Bienfaisante, je suis persuadée que cette manière de m’alimenter participe à mon équilibre de tous les jours. Et me permet, à bien des égards (et pour reprendre une expression un tant soit peu trop usitée ces derniers temps^^) de devenir une meilleure version de moi-même. Plus healthy, meilleure cuisinière et moins stressée en tous cas ! Voilà pourquoi il me tenait à coeur de vous présenter ce programme nutritionnel, imaginé avec amour au coeur de notre jolie Provence par deux cousines, Aurélie et Christina,qui sont parvenues au fil des saisons à révolutionner mon approche de l’alimentation. Laquelle soyons honnêtes ; partait de loin.
Mon parcours
Comme beaucoup d’entre nous, sorte de Bridget Jones de la génération Y, j’ai grandit dans les années 90. Et comme beaucoup d’entre nous, j’ai subi les affres des injonctions totalement irréalistes de l’ultra minceur. Avec une cohorte de femmes autour de moi (qu’il s’agisse de ma mère ou de mes tantes) perpétuellement au régime. Et la palanquée de colis compulsifs qui arrivait chaque Samedi via Télé Achat et contenaient invariablement le dernier gadget à la mode pour parvenir sans efforts à cet idéal complètement chimérique. Sans parler des tonnes de sous-vêtement compressifs et des dizaines d’appareils de sports achetés à prix d’or mais qui prenaient invariablement la poussière dans la cave. À dix ans, j’avais déjà conscience qu’en tant que fille, je m’acheminais vers une vie entière de privation et de stress gravitant autour de la nourriture.
À 12 ans, je flirtais sans cesse entre l’anorexie et la boulimie. Toute mon adolescence, je me trouvais trop grosse. Et à 24 ans, jonglant entre mes études de droit et ma volonté de devenir moi aussi une jeune femme accomplie, j’ai opté pour le jeune intermittent. Qui m’a pendant un temps permis de dompter mes démons. Dans sa petite fenêtre horaire, l’alimentation était cloisonnée. Rendue inoffensive par la cage que j’avais posé autour d’elle, je pensais l’avoir apprivoisée. Sauf que plus de dix ans plus tard et avec beaucoup de travail sur moi-même, je me suis rendue compte des limites de cette cage. Tout d’abord, côté santé. Avec le jeûne intermittent, j’avais l’impression de manger sainement. Sauf que j’étais toujours fatiguée. Et qu’après le confinement (durant lequel j’avais bien évidemment pris des mesures encore plus drastique niveau alimentaire), j’étais sans arrêt malade. C’est à cette période que les prémices d’une remise en question se sont imposés à moi. Et que j’ai eu envie de me renseigner un peu plus sur la nutrition. D’autant qu’à cette période là, j’avais commencé à faire un peu de sport et que je souhaitais que les deux aillent de paire. Sans parvenir cependant à m’extraire de l’ultra contrôle et de cette quasie anorexie mentale que le jeûne intermittent avait fait naître chez moi. Mais la révélation, c’est quelques années plus tard qu’elle est arrivée.
Suite à une nouvelle période difficile dans ma vie, j’étais moins rigoureuse dans mon jeûne. La méthode commençait véritablement à me peser, ne serait-ce que parce qu’elle me privait de dîner avec mes proches ou mon mari après une longue journée. Je sentais aussi que je culpabilisais de plus en plus intensément s’il m’arrivait de devoir manger le soir. En quelques mots, cela ne me convenait plus. À ce moment là, je me suis véritablement demandé pourquoi je m’imposais ça et ce que ça m’apportait en définitive. Et plus encore, si ce n’était pas une conséquence de mon éducation, disons le clairement, grossophobe. Un reste de névrose que j’entretenais patiemment, année après année. À grand renfort d’alimentation ultra-contrôlée et tout sauf satisfaisante. Et où tout écart était expié avec pertes et fracas. C’est à ce moment là que s’est fait le déclic. Lorsque j’ai compris ce que ce mode d’alimentation représentait finalement pour moi.
Simultanément, j’ai pris conscience qu’en tant que Femme justement, j’avais une responsabilité. Celle de ne pas transmettre mes névroses à ma filleule comme ma mère, mes tantes et ma grand-mère l’ont fait avec moi. En tant que Marraine, je sais qu’elle pourra être amener à m’imiter. Et si j’espère bien lui transmettre mon goût pour le yoga et le pilate, celui des voyages et de la lecture ; je souhaite en revanche de tout mon coeur qu’elle soit plus bienveillante que moi avec elle-même. Qu’elle sache que sa valeur ne dépend d’un chiffre sur la balance. Qu’elle ne mette pas sa santé en danger pour perdre une taille de pantalon. Qu’elle ne se refuse pas systématiquement une catégorie d’aliment parce qu’ils « font grossir« . Qu’elle reprenne une part de dessert si elle en a envie et qu’elle profite pleinement de la vie et de ses moments de bonheur que je me suis longtemps interdit. Qu’elle perçoive l’alimentation comme un plaisir et non une corvée ou un danger. Qu’elle voit son corps non pas comme un ennemi qu’elle doit contrôler à tous prix, mais comme un allié pour accomplir toutes les petites et grandes choses qui lui passeront par la tête. Qu’elle apprenne à s’aimer et à avoir un regard sain sur la nourriture. Ce que nous pauvre millenials, nous sommes finalement encore trop peu à avoir.
C’est pour toutes ces raisons que j’ai voulu changer mon alimentation. Et y mettre un peu plus de douceur. En faire un instrument de bien-être et non plus de torture. Problème ? Je ne savais pas vraiment comment faire. Déjà aux antipodes de l’alimentation familiale depuis l’adolescence du fait de ma préférence marquée pour le végétal, j’avançais dans le noir. Je n’avais aucune idée des proportions à adopter, des associations à faire ou de ce que pouvait être le fameux « sans gluten« . Et c’est là que La Bienfaisante est entrée en scène.
Qu’est-ce que La Bienfaisante ?
Créée par Christina Peyer, cheffe veggie & Aurélie Guerri, diététicienne nutritionniste ; La Bienfaisante est une entreprise spécialisée dans la création et la distribution de recettes végétariennes, sans gluten et sans lactose. Où chaque aliment a vocation à apporter un petit quelque chose en plus. Et où l’on tend résolument vers l’alimentation anti-inflammatoire. Mais pas que, puisque sont incluses avec chaque programme saisonnier des session de pilates, de yoga ou de sophrologie à pratiquer tout au long de la période de cure. À noter, l’entreprise s’engage également à promouvoir une alimentation respectueuse de l’environnement et du bien-être animal, en privilégiant des produits issus de l’agriculture biologique et en favorisant les alternatives végétales. Les recettes proposées par La Bienfaisante sont élaborées avec soin, en mettant en avant des ingrédients naturels, de saison et de qualité. Tout en offrant une expérience gustative savoureuse et gourmande. Et ici, on ne parle pas de régime mais bel et bien de « rééquilibrage alimentaire« . Ce qui pour moi faisait toute la différence. Leur mantra ? Permettre aux femmes (mais rassurez-vous, les hommes y ont droit aussi^^) de reprendre le pouvoir sur leur alimentation et par conséquent ; leur santé et leur bien-être. Et je dois bien avouer que je ne m’étais jamais rendue compte d’à quel point tout était lié…
Rééquilibrage alimentaire VS régime
Si les deux sont à la mode ces dernières années, ils sont pourtant bien différents ! En effet, le régime consiste à restreindre les quantités consommées à chaque repas et à retirer des catégories d’aliments, tandis que le rééquilibrage est destiné à adopter une alimentation saine de manière générale afin de changer ses habitudes en profondeur. Et de se construire une hygiène de vie durable… Le tout sans frustrations. On cherche alors à introduire dans l’alimentation plus d’aliments nutritifs et faibles en calories. Ce qui induit une perte de poids certes plus lente et moins spectaculaire que les régimes drastiques de nos magasines mais aucun effet yoyo ! Pour en savoir davantage, référez-vous à cet article très bien documenté.
Du reste, lorsque je vous disais que La Bienfaisante était la pièce manquante à mon édifice de bien-être, je ne vous mentais pas. Car j’ai entendu parler pour la première fois de cette petite entreprise allaudienne à mon école de yoga, l’une de mes professeures y ayant collaboré. Et j’avoue que c’est finalement côté « local » qui a finit de me convaincre de prendre part à l’aventure. Aventure commencée durant l’Été 2023. Et (sauf période de vacances of course, dont je profite d’ailleurs pleinement et désormais sans culpabilité) jamais abandonnée depuis. Je dois même dire que chaque programme est mieux pensé que le dernier.
Mais revenons en à cette cure d’Hiver 2024, dont j’ai eu la grande chance de me faire ambassadrice et que j’ai tout particulièrement appréciée…
Au menu de la Cure d’Hiver 2023
Selon la formule consacrée de La Bienfaisante, vous pouvez opter pour une cure de 5 jours (idéale pour un « reset » pré ou post vacances) ou 3 semaines pour un changement plus profond. Et pour une formule uniquement digitalisée (vous aurez alors accès au PDF comprenant les différentes recettes de la cure ainsi qu’à l’espace bien-être où retrouver vos séances de sophrologie, pilates et yoga) ou comprenant un livret en papier.Personnellement, c’est cette option que préfère car je trouve plus facile d’emporter mon livret que mon ordinateur portable en cuisine !
Ce livre, qu’il soit format papier ou PDF, est le coeur de La Bienfaisante. Votre compagnon de route tout au long des trois semaines de cure (réparties sur 5 jours par semaine, les weekends permettant de s’offrir un repas plus riche ou plus festif) puisque c’est là que vous y trouverez vos recettes de petits déjeuners, lunchs, collations et dîners. Bien évidemment adaptables à toute la famille, comme nous l’évoquerons plus bas.
Cerise sur le gâteau, chaque livret comprend également une liste de course pour chaque semaine du programme et une méthode de batch cooking. Pour ma part, je ne pratique pas cette méthode, mais je sais que beaucoup en sont adeptes et que cela évite de perdre du temps lors d’une semaine trop chargée. Le livre Hiver 2024 contient même un guide anti-gaspi qui est un vrai plus, car je dois bien admettre que j’avais un peu de mal à savoir quoi faire de mes restes, certains aliment n’étant utilisés qu’en petite quantité.
Mention spéciale enfin pour le livret lui-même, car au delà de la qualité du papier (j’avoue être une amoureuse de la belle papeterie et des papiers texturés), la présentation est bien faite et les photos très alléchantes… Du reste, et si vous voulez voir à quoi cela ressemble de manière plus concrète, n’hésitez pas à cliquer sur ce lien pour obtenir une journée type La Bienfaisante. Vous pourrez ainsi tester quelques recettes et vous faire votre propre idée sur le sujet !
Autre atout de cette cure, la possibilité de contacter très facilement Aurélie et Christina pour leur poser toutes les questions qui nous passeraient par la tête. Un aliment à substituer, un doute sur les proportions pour un enfant, un homme ou lorsque l’on pratique un sport intense ? Un simple message dans le chat suffit pour obtenir une réponse rapidement. Dès mes débuts avec La Bienfaisante, je ne me suis jamais sentie seule ou perdue. Et ce alors même que je réformais profondément ma façon de me nourrir ; ce qui aurait put être source d’anxiété. Les explications sont claires et l’on peut toujours trouver un conseil ou une alternative auprès d’Aurélie ou Christina. Elles sont extraordinairement disponibles et l’on se sent accompagnée dès que l’on en ressent le besoin. Moi qui suis d’un naturel curieux, j’ai adoré échanger avec elles sur la nutrition non seulement en tant qu’ambassadrice mais aussi et tout simplement, en tant que cliente.
Il est aussi possible (et c’est la nouveauté de cet Hiver 2023) de commander deux types de compléments alimentaires (Je draine et Je détoxifie), spécialement conçus pour La Bienfaisante dans un laboratoire de Haute Garonne pour soutenir les effets de la cure. J’ai eu la chance de les tester tous les deux dans le cadre du programme ambassadrice, et je les ai trouvés très bien avec un vrai mieux-être une fois les trois semaines écoulées. J’envisage d’ailleurs de poursuivre l’expérience encore un mois pour chacun d’entre eux et permettre aux effets de se pérenniser dans le temps…
Les résultats après « 3 semaines » de cure
Après ces trois semaines de cure d’Hiver et, plus largement, après plusieurs mois à l’usage (d’où les guillemets^^) ; je peux vous assurer que j’ai la sensation de m’être enfin réconciliée avec mon alimentation. Et que celle-ci est devenue une source de plaisir plutôt qu’une source de contraintes.
Le sans gluten a été une vraie révélation pour l’un comme pour l’autre au niveau digestif, et ce alors même que nous n’avions jamais pris conscience qu’il pouvait être un problème à trop forte dose. Nous continuons à en consommer de temps en temps vu que nous n’y sommes pas allergiques, mais plus du tout sur une base quotidienne et pour nous, ça a fait toute la différence ! Notamment au niveau des ballonnements auxquels j’étais sujette ces dernières années. Et plus de douleurs digestives pour Monsieur Chaton Chiffon après un bon plat de pâtes…
Personnellement, j’ai aussi vu un réel effet sur ma rétention d’eau (d’autant plus en prenant le complément alimentaire Je draine ! ), car j’ai perdu plus de 2 cm sur l’ensemble de ma silhouette. De même que sur mon système immunitaire, mis à rude épreuve cet Hiver et beaucoup plus puissant qu’auparavant. Je me sens en meilleure forme et je récupère beaucoup plus vite lorsque je suis malade, ce qui est très appréciable !
Mais le plus bel effet finalement, je le vois chaque jour sur mon moral et mon sommeil. Comme je vous le disais, ce sont deux domaines de ma vie qui m’ont toujours beaucoup préoccupée et pour lesquels j’ai beaucoup oeuvré. Or, en synergie avec ce que j’avais déjà mis en place de ce côté là (vous savez que je pratique assidument plusieurs types de yoga chez ALLAUCH YOGA), La Bienfaisante fonctionne parfaitement bien. Je dors de manière ininterrompue (ma plus grande victoire car j’ai des années et des années d’insomnies et de réveil nocturne derrière moi) et mon humeur est stable. Je n’ai plus de crises de larmes incontrôlables pour tout et pour rien. Et si je suis totalement consciente que cette stabilité émotionnelle est due à un tout ; je suis aussi convaincue du lien entre alimentation et humeur.
Top 5 des recettes de la Cure Hiver 2024
Histoire de vous donner l’eau à la bouche, voici les recettes que nous avons préférées cette saison :
- Les pancakes au chocolat, ultra gourmands et devenus ma petite douceur du Mercredi.
- Les brocolis grillés au houmous de maïs, inattendus et délicieux.
- Les spaghettis d’hiver, réconfortants à souhait.
- Le mijoté d’haricots Azuki et pignons de pin qui donne des envies de soleil.
- La polenta crémeuse à la courge et au chèvre, la revisite d’un grand classique de la cuisine italienne.
- Le quinotto aux carottes, ail et noix parfait en toute occasion.
Mais pour tout vous dire, c’est très très dur de choisir…
Adopter La Bienfaisante a également été un life saver au niveau de ma charge mentale. Travaillant à la maison, je suis en charge de la plupart des repas du foyer puisque je suis déjà sur place. Et honnêtement, c’était encore un soucis de plus. Mais je pense que je ne vous surprend pas puisque la question « Qu’est-ce qu’on mange ce soir ? » est probablement celle qui revient le plus souvent dans la vie d’un couple ou d’une famille. N’étant pas une grande cuisinière et n’ayant pas non plus vocation à y passer des heures, ça me pesait énormément. Et nous finissions toujours par manger la même chose, sans grande conviction. Et sans grande saveur non plus pour être honnête ! J’étais vraiment prisonnière du carcan de l’anxiété alimentaire (voire de l’ignorance sur certains points) et la plupart du temps c’était légumes bouillis, une source de céréales complète et un poisson. Bouilli aussi bien évidemment. Fun fun fun…
Désormais, je suis la cure avec mon mari. Et tant les recettes que l’organisation de La Bienfaisante me simplifient tellement les choses ! Je fais le plat choisi en mettant les mêmes proportions pour nous deux ; mais je lui ajoute systématiquement une part de protéine supplémentaire. Généralement sous forme d’oeuf ou de tofu. Voire en doublant la protéine incluse dans la recette. Et cela fonctionne bien pour lui aussi. Les recettes sont rapides, ne nécessitent pas de compétences culinaires trop poussées, sont variées et sont vraiment délicieuses… Depuis plus de 9 mois, je n’ai pas eu une seule plainte !
J’ai toujours eu une appétence particulière pour les légumes, donc je n’étais pas vraiment à convaincre. Mais ce n’est pas le cas de mon Monsieur Chaton Chiffon qui, suite à la cure, a finalement abandonné son sacro-saint coquillettes cordons bleus pour découvrir les charmes des fruits et légumes ! Cela fait trois saisons que nous nous régalons. Nous avons découvert de nouveaux aliments, de nouvelles associations, avons appris à aimer des choses que nous pensions détester, simplement du fait d’un assaisonnement un peu différent… Et les effets se font sentir tout à la fois sur le corps et l’esprit, pour notre plus grand plaisir.
La suite ?
Aujourd’hui sort la cure de Printemps La Bienfaisante. Et je suis incroyablement impatiente ! D’autant que la formule (en constante évolution) a été revue et corrigée pour nous apporter toujours plus de facilité au quotidien, de versatilité et de possibilité de bien-être.
Je sais notamment qu’il sera désormais possible d’adapter un plat selon que l’on souhaite le déguster au dîner ou au lunch ! Or, c’était justement le type de questions que je posais souvent dans le chat puisqu’en fin de mois, on est parfois un peu dépendant de ce qu’il reste dans les frigo ou les placards ! Autre ajout, la mise en place d’une application qui permet un suivi encore plus poussé… À noter également, 1% du chiffre d’affaire total de la Cure de Printemps sera reversé à l’association ENDOMIND luttant contre l’endométriose, ce qui je trouve est une belle façon de s’engager toujours plus auprès des femmes, ce fléau étant encore trop banalisé et trop peu pris en compte.
Carnet d’Adresse Bienfaisant du Chaton Chiffon :
Envie de vous lancer dans l’aventure ? Voici quelques liens que vous devriez consulter !
Pour acheter votre Cure de Printemps :
La boutique en ligne de La Bienfaisante, où trouver tous les programmes actuellement en vente.
Pour en savoir plus sur la nutrition en général et le rééquilibrage alimentaire en particulier :
Le blog La Bienfaisante qui fourmille de ressources sur le lien entre alimentation et immunité, sur l’alimentation anti-inflammatoire et offre une foule d’idées de recettes gratuites. Pensez aussi à consulter le compte Instagram de La Bienfaisante qui regorge de pépites.
Et sachez qu’en ce moment et pour 24 heures seulement, certains comptes vous offrent 20% de réduction sur la Cure. C’est notamment le cas de COSY HOME BY CAMILLE. Allez y jeter un coup d’oeil !
Et vous ?
Quel est votre rapport à l’alimentation ? Êtes-vous la personne en charge des repas chez vous ? Avez-vous déjà songé à vous tourner vers une alimentation anti-inflammatoire et si oui, pourquoi ? En tous cas, et forte d’une expérience de plusieurs mois, je ne peux que vous conseiller de donner sa chance à La Bienfaisante. Et j’espère que ce (trop ?) long article vous aura donné envie de vous pencher à votre tour sur le sujet, surtout si l’alimentation est une source d’anxiété pour vous. Du reste, n’hésitez pas à me dire en commentaires si vous comptez tester cette cure joyeuse et exquise ou pourquoi pas, si vous l’avez déjà testée par le Passé ! Ou bien entendu, si vous souhaitez que je vous en reparle à l’avenir.
À titre personnel, je tiens également à remercier Aurélie et Christina. D’une part pour leur travail, mais aussi pour cette belle expérience. J’ai adoré me faire ambassadrice de la cure le temps d’une saison et j’ai hâte de voir celle-ci évoluer et nous proposer toujours plus de succulentes expériences gustatives…
Quoiqu’il en soit, je vous souhaite une belle saison printanière et je vous retrouve très bientôt pour un nouvel article. Et, spoiler alert, de nouveaux « ronrons » !
Article intéressant mon chaton
J’ai perdu mon commentaire en le publiant, j’espère y remettre ce que j’avais écrit
J’avoue avoir déjà songé à suivre des recettes anti inflammatoires et les privilégier dans mon quotidien car tout comme toi j’ai tendance à être ballonnée après un repas un peu trop riche ou trop gras, ou si je mange trop sucré. Cela arrive souvent quand nous ne sommes pas à la maison, au restaurant, il peut être facile d’y faire attention, mais chez des amis ou en famille cela peut devenir plus compliqué.
J’ai une amie qui est obsédée et qui compte chaque calorie avalée dans une journée et qui ne jure que par le sport. Je ne sais pas comment lui faire comprendre avec bienveillance et sans me montrer blessante qu’elle a un souci (je pense) avec son rapport à son corps et à la nourriture, bien que je lui répète souvent que nous sommes bien plus qu’un nombre sur une balance et que sa masse musculaire doit être aujourd’hui plus importante que sa masse graisseuse, mais également qu’elle n’est pas grosse, et tout à fait bien, même si en soi tout le monde est bien.
Le programme La Bienfaisante est-il onéreux ?
Je te souhaite une belle fin d’après-midi et t’envoie plein de bisous !